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nous somme les fils de noé
tous docile et savamment apprivoisé
dresser a survivre sur notre bateau
a coexister avec d'autres animaux
croyant que cette arche et notre seul univers
sans volonté pour savoir si derrière
les eaux sont encore la a nous entourer
ou si depuis le temps elles se sont dissiper
mais personne ne vas voir
noé est un sauveur nous lui devons raison
mais la colombe absente ne gâche pas l'horizon
il n'as donc aucun signe pour lui dire d'accoster
tant que les animaux de bord ne ce sont révolter
"ce révolter hurlent ils mais pourquoi faire?
quitter l'obscurité rencontrer la lumière?
prendre des risque qui ne sont contrôler?
et surtout d'entre nous, qui vas nous diriger?"
ça c'est une autre histoire
alors le vieux bien que devenu sénile
garde précieusement les clés de sont chenil
et de père a tyran il n y as qu'un pas...
éduquer ces enfants sans leurs laisser le choix
pauvre cabots continuent a voguer
sur une mer de sable ou l'eau n'est plus tomber
depuis des lustre et des lustre et le pauvre noé
aveugle pas devoir ne la pas remarquer
et ça j'ai beau leurs dirent, mais il ne veulent me croire....
lundi 13 octobre 2008
vendredi 10 octobre 2008
"le mensonge est un royaume ou rien n'est interdit"
"la moralisée est la ligne de mire de toutes exactions"
"si ta faim et qu'une pomme tombe d'un arbre, même si elle est pourri mange la"
"ce que le novice ignore le sage l'oubli"
"une pièce a deux face mais elles ont la même valeur"
"le silence n'est pas l'absence de bruit, juste son prolongement"
"ne jamais donner plus de d'importance a une personne que celle ci nous en porte"
"l'estime personnel n est que le reflet du désire des autres"
"la moralisée est la ligne de mire de toutes exactions"
"si ta faim et qu'une pomme tombe d'un arbre, même si elle est pourri mange la"
"ce que le novice ignore le sage l'oubli"
"une pièce a deux face mais elles ont la même valeur"
"le silence n'est pas l'absence de bruit, juste son prolongement"
"ne jamais donner plus de d'importance a une personne que celle ci nous en porte"
"l'estime personnel n est que le reflet du désire des autres"
mercredi 8 octobre 2008
REFLET
J'ai vu sur les rives d un fleuve endolorie
Un homme qui se tenait debout
Alors que tous les autres étaient à genoux ou assis
L'insultant et le traitent de fou
Du bateau ou je me trouvais
La vue était imparable
Pour voir ceux qui se traînaient
Conspuer l'air coupable
Mais l'homme lui ne rétorquais
Il semblait sans mouvement
Sans réponses a ceux qui se moquaient
Sans regarde pour le passant
La curiosité de sont attitude
U pour effet mon accostage
Mais sitôt le pied a leur latitude
La scène changea sur le rivage
Plus un hommes n'étaient à genoux
Tous avaient l'air heureux
Ils ne traînaient plus l'autre de fou
Mais le regardaient l'air amoureux
Tous tournoyais autour de l'autre
Comme si il était le soleil
Comme si il était un apôtre
Apportent la mire te le miel
C'était sans doute un mirage
Qui m'avais envoûter
Quand j'étais sur ma barge
Juste avant d'accoster
Sans un mot pour leurs œuvres
Je repris ma croisière
Mais au milieu du fleuve
Le regard en arrière
Je vis
Un homme qui se tenait debout
Alors que tous les autres étaient à genoux ou assis
L insultant et le traitent de fou.........
Un homme qui se tenait debout
Alors que tous les autres étaient à genoux ou assis
L'insultant et le traitent de fou
Du bateau ou je me trouvais
La vue était imparable
Pour voir ceux qui se traînaient
Conspuer l'air coupable
Mais l'homme lui ne rétorquais
Il semblait sans mouvement
Sans réponses a ceux qui se moquaient
Sans regarde pour le passant
La curiosité de sont attitude
U pour effet mon accostage
Mais sitôt le pied a leur latitude
La scène changea sur le rivage
Plus un hommes n'étaient à genoux
Tous avaient l'air heureux
Ils ne traînaient plus l'autre de fou
Mais le regardaient l'air amoureux
Tous tournoyais autour de l'autre
Comme si il était le soleil
Comme si il était un apôtre
Apportent la mire te le miel
C'était sans doute un mirage
Qui m'avais envoûter
Quand j'étais sur ma barge
Juste avant d'accoster
Sans un mot pour leurs œuvres
Je repris ma croisière
Mais au milieu du fleuve
Le regard en arrière
Je vis
Un homme qui se tenait debout
Alors que tous les autres étaient à genoux ou assis
L insultant et le traitent de fou.........
FOLIE
La folie est au portes de mon âme
ces armes sont former elles ont tirer leur armes
mon silence est leur pont elle avance en bonne ordre
semant dans mon cœur le malheur, la discorde
j essai de les détruire en appelant raison
en plongeant dans mon cœur y chassant ces démons
mais inexorablement elles avancent encore
vidant de toutes substances mon misérable corps
alors je recherche dans le mal de plus puissant allier
espèrent que il obscure puisse au moins les stopper
mais leur généraux sont meilleur que les miens
est leur soldat de troupe de meilleur assassine
écraser au milieu, décimer sur les flan
je me retrouve seul entourer de néant
ces armes ce reforme toutes le glaive lever
car sous leurs assauts les portes viennent de céder
ces armes sont former elles ont tirer leur armes
mon silence est leur pont elle avance en bonne ordre
semant dans mon cœur le malheur, la discorde
j essai de les détruire en appelant raison
en plongeant dans mon cœur y chassant ces démons
mais inexorablement elles avancent encore
vidant de toutes substances mon misérable corps
alors je recherche dans le mal de plus puissant allier
espèrent que il obscure puisse au moins les stopper
mais leur généraux sont meilleur que les miens
est leur soldat de troupe de meilleur assassine
écraser au milieu, décimer sur les flan
je me retrouve seul entourer de néant
ces armes ce reforme toutes le glaive lever
car sous leurs assauts les portes viennent de céder
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