lundi 13 octobre 2008

Mais ils ne veulent me croire....

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nous somme les fils de noé
tous docile et savamment apprivoisé

dresser a survivre sur notre bateau
a coexister avec d'autres animaux

croyant que cette arche et notre seul univers
sans volonté pour savoir si derrière
les eaux sont encore la a nous entourer
ou si depuis le temps elles se sont dissiper

mais personne ne vas voir

noé est un sauveur nous lui devons raison
mais la colombe absente ne gâche pas l'horizon

il n'as donc aucun signe pour lui dire d'accoster
tant que les animaux de bord ne ce sont révolter

"ce révolter hurlent ils mais pourquoi faire?
quitter l'obscurité rencontrer la lumière?
prendre des risque qui ne sont contrôler?
et surtout d'entre nous, qui vas nous diriger?"

ça c'est une autre histoire

alors le vieux bien que devenu sénile
garde précieusement les clés de sont chenil

et de père a tyran il n y as qu'un pas...
éduquer ces enfants sans leurs laisser le choix

pauvre cabots continuent a voguer
sur une mer de sable ou l'eau n'est plus tomber
depuis des lustre et des lustre et le pauvre noé
aveugle pas devoir ne la pas remarquer

et ça j'ai beau leurs dirent, mais il ne veulent me croire....

vendredi 10 octobre 2008

"le mensonge est un royaume ou rien n'est interdit"

"la moralisée est la ligne de mire de toutes exactions"

"si ta faim et qu'une pomme tombe d'un arbre, même si elle est pourri mange la"

"ce que le novice ignore le sage l'oubli"

"une pièce a deux face mais elles ont la même valeur"

"le silence n'est pas l'absence de bruit, juste son prolongement"

"ne jamais donner plus de d'importance a une personne que celle ci nous en porte"

"l'estime personnel n est que le reflet du désire des autres"

mercredi 8 octobre 2008

REFLET

J'ai vu sur les rives d un fleuve endolorie
Un homme qui se tenait debout
Alors que tous les autres étaient à genoux ou assis
L'insultant et le traitent de fou

Du bateau ou je me trouvais
La vue était imparable
Pour voir ceux qui se traînaient
Conspuer l'air coupable

Mais l'homme lui ne rétorquais
Il semblait sans mouvement
Sans réponses a ceux qui se moquaient
Sans regarde pour le passant

La curiosité de sont attitude
U pour effet mon accostage
Mais sitôt le pied a leur latitude
La scène changea sur le rivage

Plus un hommes n'étaient à genoux
Tous avaient l'air heureux
Ils ne traînaient plus l'autre de fou
Mais le regardaient l'air amoureux

Tous tournoyais autour de l'autre
Comme si il était le soleil
Comme si il était un apôtre
Apportent la mire te le miel

C'était sans doute un mirage
Qui m'avais envoûter
Quand j'étais sur ma barge
Juste avant d'accoster

Sans un mot pour leurs œuvres
Je repris ma croisière
Mais au milieu du fleuve
Le regard en arrière

Je vis
Un homme qui se tenait debout
Alors que tous les autres étaient à genoux ou assis
L insultant et le traitent de fou.........

FOLIE

La folie est au portes de mon âme
ces armes sont former elles ont tirer leur armes

mon silence est leur pont elle avance en bonne ordre
semant dans mon cœur le malheur, la discorde

j essai de les détruire en appelant raison
en plongeant dans mon cœur y chassant ces démons

mais inexorablement elles avancent encore
vidant de toutes substances mon misérable corps

alors je recherche dans le mal de plus puissant allier
espèrent que il obscure puisse au moins les stopper

mais leur généraux sont meilleur que les miens
est leur soldat de troupe de meilleur assassine

écraser au milieu, décimer sur les flan
je me retrouve seul entourer de néant

ces armes ce reforme toutes le glaive lever
car sous leurs assauts les portes viennent de céder