J'ai vu sur les rives d un fleuve endolorie
Un homme qui se tenait debout
Alors que tous les autres étaient à genoux ou assis
L'insultant et le traitent de fou
Du bateau ou je me trouvais
La vue était imparable
Pour voir ceux qui se traînaient
Conspuer l'air coupable
Mais l'homme lui ne rétorquais
Il semblait sans mouvement
Sans réponses a ceux qui se moquaient
Sans regarde pour le passant
La curiosité de sont attitude
U pour effet mon accostage
Mais sitôt le pied a leur latitude
La scène changea sur le rivage
Plus un hommes n'étaient à genoux
Tous avaient l'air heureux
Ils ne traînaient plus l'autre de fou
Mais le regardaient l'air amoureux
Tous tournoyais autour de l'autre
Comme si il était le soleil
Comme si il était un apôtre
Apportent la mire te le miel
C'était sans doute un mirage
Qui m'avais envoûter
Quand j'étais sur ma barge
Juste avant d'accoster
Sans un mot pour leurs œuvres
Je repris ma croisière
Mais au milieu du fleuve
Le regard en arrière
Je vis
Un homme qui se tenait debout
Alors que tous les autres étaient à genoux ou assis
L insultant et le traitent de fou.........
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